Overseas Development Assistance is not the solution to Africa’s development challenges; the future of Africa’s development financing lies in strengthening the continent’s ability to raise resources internally, i.e, Domestic Resource Mobilisation (DRM).

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Domestic Resource Mobilization: Africa’s Best Shot at Sustainable Development
With a $1.3 trillion annual gap standing between Africa and its Sustainable Development Goals (SDGs), the current reliance on Official Development Assistance (ODA) is proving inadequate. While ODA has its merits, it only covers around 3% of Africa’s financial needs. The rest must come from within. That’s where Domestic Resource Mobilization (DRM) becomes critical. Instead of short-term bandages, Africa needs structural, internal solutions that empower nations to reclaim control over their fiscal futures.
Why ODA Is No Longer the Answer
ODA was never designed to fill trillion-dollar gaps. While helpful in crises and humanitarian efforts, it falls short in building sustainable economic systems. Africa needs long-term mechanisms to manage and generate its own resources. The heavy dependence on donors exposes economies to political conditions and fiscal uncertainty. It’s time to look inward—toward Domestic Resource Mobilization—as the path to fiscal independence.
What Is Domestic Resource Mobilization?
Domestic Resource Mobilization refers to the generation of savings and revenues from within a country to finance its development goals. This includes tax revenue, savings, investments, and reduction of capital flight. When effectively implemented, DRM allows countries to control their economic priorities without being tied to the strings of foreign aid. Africa’s potential in this space remains largely untapped.
Step 1: Expand the Tax Base Without Hurting the Poor
Tax reform doesn’t mean increasing the burden on everyday citizens. Instead, it involves improving collection efficiency, taxing multinational corporations fairly, and addressing illicit financial flows. Governments should leverage digital systems to bring the informal economy into the tax net, while protecting the vulnerable. By widening the base and closing loopholes, countries can significantly boost revenues.
Step 2: Curb Illicit Financial Flows and Capital Flight
Each year, Africa loses over $88 billion to illicit financial flows—money that could fund healthcare, education, and infrastructure. Strengthening regulatory frameworks and increasing transparency in financial reporting are crucial. African leaders must collaborate to crack down on tax evasion, especially from extractive industries. Domestic Resource Mobilization is impossible without plugging these leaks.
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Une transformation locale aux multiples retombées
La mise en œuvre de la ZLECAf en Éthiopie représente bien plus qu’un accord commercial — c’est un levier de transformation économique régionale. En améliorant la connectivité régionale, l’accord stimule la création de chaînes de valeur locales, dynamise les corridors de commerce et ouvre des opportunités pour les industries locales. Par exemple, la filière textile, autrefois marginalisée, connaît aujourd’hui une croissance significative grâce aux nouvelles facilités logistiques interafricaines.
Selon les experts cités dans le rapport de la African News Page, cette dynamique crée une nouvelle génération d’entreprises locales prêtes à affronter la concurrence régionale. Les PME éthiopiennes bénéficient aussi d’un accès élargi à de nouveaux marchés, stimulant les investissements et l’innovation locale.
Domestic Resource Mobilization: Renforcement des infrastructures pour une meilleure intégration
Le succès de la ZLECAf en Éthiopie dépend également du développement d’infrastructures modernes — routes, chemins de fer, hubs logistiques et ports secs. Des projets comme la ligne ferroviaire Addis-Abeba-Djibouti illustrent parfaitement cette volonté de faciliter le transit des marchandises à travers les frontières africaines. Ces améliorations logistiques réduisent les coûts commerciaux et renforcent l’attractivité du pays pour les investisseurs étrangers.
En parallèle, le gouvernement a lancé des partenariats public-privé pour améliorer l’accès aux services douaniers électroniques et au paiement numérique, contribuant à fluidifier le commerce interrégional. Ces efforts s’alignent avec les recommandations de la plateforme Voice Mauritius News qui souligne l’importance de l’intégration numérique pour soutenir l’AfCFTA.
Domestic Resource Mobilization:Les femmes entrepreneures éthiopiennes : des actrices clés du changement
Dans cette dynamique d’intégration continentale, les femmes entrepreneures jouent un rôle moteur. De nombreuses initiatives visent à renforcer leur inclusion dans les chaînes de valeur de la ZLECAf. L’Éthiopie a mis en place des programmes de formation et de microfinancement qui ont permis à des milliers de femmes d’accéder au commerce régional. Ces femmes deviennent ainsi des ambassadrices de l’innovation locale, portées par un cadre commercial désormais plus ouvert et inclusif.
D’après un article récent sur Voice Mauritius News, ces avancées ont permis d’améliorer la résilience économique des foyers éthiopiens, tout en favorisant l’autonomisation sociale des femmes à travers le commerce et l’entrepreneuriat.

Les jeunes au cœur des opportunités commerciales
Avec une population jeune et dynamique, l’Éthiopie mise sur les talents émergents pour renforcer sa compétitivité régionale. De nombreux incubateurs d’entreprises et centres d’innovation technologique ont vu le jour, soutenus par des partenariats avec l’Union africaine et des bailleurs internationaux. Ces espaces stimulent l’esprit d’entreprise et préparent les jeunes aux opportunités créées par la ZLECAf.
Grâce à l’AfCFTA, les jeunes start-up éthiopiennes peuvent désormais cibler les marchés voisins sans barrières tarifaires excessives. Cela contribue à freiner l’exode des cerveaux, car les talents trouvent des opportunités localement dans un environnement plus stimulant.
Pourquoi l’Ethiopia AfCFTA change la donne pour les jeunes ?
La réponse est simple : cette initiative offre aux jeunes des débouchés concrets. En supprimant les obstacles commerciaux, elle permet à leurs idées de croître à l’échelle continentale. Des projets portés par de jeunes entrepreneurs dans le domaine de l’agritech, de la logistique ou du numérique bénéficient désormais d’un accès privilégié à 54 marchés africains. Le mot d’ordre est clair : innover localement, rayonner régionalement.
Conclusion: Ethiopia’s AfCFTA as a Catalyst for Sustainable Growth
The Ethiopia AfCFTA initiative marks a transformative moment in the continent’s economic journey. By integrating regional trade, investing in infrastructure, and empowering women and youth entrepreneurs, Ethiopia is setting a precedent for inclusive and sustainable development. This bold push towards strengthening Domestic Resource Mobilization through trade reforms and innovation not only addresses the financing gap but also builds resilience against external shocks. As the continent continues to harness its collective potential, initiatives like AfCFTA will be central to unlocking Africa’s prosperous future.
Original Source
This article is based on the original op-ed published by African News Page, titled: “Why ODA is Not Solution to Africa’s Development Challenges”, authored by Betty Wainaina.
Excerpt:
“A decade after the adoption of the 2030 Agenda, a measly 17% of the Sustainable Development Goals are on track. Africa needs an additional $1.3 trillion yearly to achieve these goals, but Official Development Assistance only covers 3% of that need.”




